Fusettes néoVie et Géobiologie

Observations faites suite à la mise en œuvre de fusettes néoVie.

Témoignage de Pierre G. (Quiberon)

Date : 30 janvier 2011

Mon retard à donner des nouvelles de mon “intervention” avec le “néoVie” est tout simplement dû à un manque de rigueur, chronique chez moi. Je me dis depuis 2 mois : “il faut que je fasse part de mon expérience”, et puis…
En ce moment un nouveau dynamisme arrivant avec le nouvel an chinois, je vous donne mes impressions :
J’ai utilisé le néoVie que tu m’as adressé début octobre, chez mon fils Boris dont la maison était plombée : important V-e, forte humidité (chronique en Bretagne), impression de lourdeur, manque de lumière et de sérénité.
J’ai posé le néoVie dans le jardin, sous une grosse (environ 10 kg) pierre qui était d’accord pour servir d’antenne à ce nouveau venu.
Les “dégagements” opérés par le système ont été progressifs, sur plusieurs jours, pour être en croisière au bout d’une lunaison. L’envie du déménagement urgent s’est estompée, le niveau d’énergie Bovis est remonté de 5 000 à environ 10 000, et le V-e a disparu. Par ailleurs il semble que la fusée a un impact sur un rayon de plusieurs centaines de m. C’est très étonnant, et je pense en effet que cet outil est à insérer dans la panoplie du “parfait petit géobiologue”. Merci pour cette invention aux applications multiples, et particulièrement simples.

Date : 14 mars 2012

Observations faites suite à la mise en œuvre de fusettes néoVie.

D’une manière générale, la pose de fusettes se traduit par un « apaisement » du lieu, ressenti par les habitants ; la mesure aux instruments permet de constater que les informations relatives aux réseaux, aux failles, aux cours d’eau ont disparu. Le niveau global de vibration du lieu d’habitation s’est sensiblement élevé

Particularités rencontrées lors de la mise en place

Lors d’une intervention loin de mes bases habituelles, et ayant « zappé » les consignes du protocole, je mets – à la demande de l’utilisatrice de la maison, vivant seule – en place une fusette sur une propriété de particulier implantée à flanc de coteau, avec une forte masse de terre faisant une belle tortue, mais mal orientée puisqu’à l’Ouest. Bref, je pose la fusette vers 11 h 30, alors que la maîtresse de maison est en pleine cuisine, au sommet du terrain, choix qui s’est imposé à moi, et à mes instruments.
Le soir même, elle me signale de fortes perturbations dans sa santé physique, avec brûlures au niveau de l’œsophage (à moins que ce ne soit la trachée) plus des difficultés de respirer. Je lui conseille d’enlever la fusette immédiatement, ce qu’elle fait, mais les symptômes ne partent pas.
Je reviens le surlendemain, et commence par traiter la personne : les symptômes partent, mais reste un « petit quelque chose » que j’attribue à une fin de soins qui va s’améliorer très rapidement. Et je vais dehors placer la fusette à un autre endroit, me disant que l’effet du terrain dominant la maison avait été trop fort. Je repars et la personne – c’est une amie, et elle l’est restée – m’appelle pour me dire que le « petit quelque chose » est resté, et qu’elle voudrait bien que je repasse avant de repartir dans ma Bretagne. Elle laisse toutefois la fusette en terre.
J’interviens donc une 3e fois ; j’enlève la fusette, je traite la personne, puis nous sortons à l’extérieur tous les 2 et elle m’accompagne dans le choix d’un 3e endroit pour la fusette. Et nous restons dehors un certain temps (¼ d’h. ½ h. ?) en discutant de choses et d’autres. Et à partir de là, tout se passe bien ; il n’y a plus de réclamations, et la personne se sent très bien, et dort bien (je lui avais demandé de changer son lit de place afin que les pieds ne soient pas en face de la porte.)

Ce n’est qu’en rentrant chez moi que j’ai relu le protocole, et que je me suis remémoré qu’il fallait que la maison soit vide une vingtaine de minutes lors de la mise en place de la fusette. Lors de mes interventions précédentes, en d’autres lieux, je n’ai pas eu ce problème car les habitants étaient en dehors de la maison à chaque fois. Il est possible que dans ce cas particulier, le fait que la personne cuisine pendant l’opération de mise en place, aggrave les effets.

 Notre commentaire :

L’ami Pierre m’avait avoué, qu’en fait, il avait placé sa fusette par rapport à sa connaissance du terrain, pensant sans doute intérieurement, que s’il plaçait sa fusette à des endroits chargés (courant d’eau, croisements telluriques, etc.), le résultat en serait que meilleur. L’expérience prouve que c’est rarement le cas et que c’est toujours, en final, le lieu dans la globalité, qui pilote le choix du point d’intervention. Quant au fait que la dame cuisinait pendant la mise en place, elle n’a pas influencé le travail. Simplement, on recommande d’être à l’écoute des habitants pendant la pose d’un néoVie, car son premier travail, sera une phase de « vidage ». C’est-à-dire, que les informations qui vont alors remonter risquent d’être dures à vivre pour les habitants. Cette phase dure environ une vingtaine de minutes. Et c’est seulement après cette phase de « vidage », que se met en place une phase de « remplissage » qui va stabiliser le lieu.

Fusette néoVie
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